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 Ouah il est super beau ce lac. Oh une indienne ! [Vetri & Alice]

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MessageSujet: Ouah il est super beau ce lac. Oh une indienne ! [Vetri & Alice]   Ouah il est super beau ce lac. Oh une indienne ! [Vetri & Alice] EmptyDim 4 Jan - 23:29

Ouah il est super beau ce lac. Oh une indienne ! [Vetri & Alice] A10Ouah il est super beau ce lac. Oh une indienne ! [Vetri & Alice] Jb08Ouah il est super beau ce lac. Oh une indienne ! [Vetri & Alice] Rachelbilsonsg-2copy2
Deux anglais et une indienne. Beau mélange !      


    Une heure. Ca faisait déjà une heure que Marlon était assis sur cette espèce de cailloux miteux qui trainait près du bus. Et il commençait sérieusement à en avoir marre. Partout où il regardait, il pouvait apercevoir la nature et aussi plein d'autre élève. Mais pourquoi es que personne ne pensait une seule seconde à aller se balader ? A faire un jeu, enfin à faire quelque chose quoi. Même sa petite bande d'habitude si enthousiaste trainait comme une bande de looser. Enfin non, pas looser quand même, mais presque. Agacé, Marlon tripota quelques cailloux posés au sol et finit par se lever brusquement. Il jeta un rapide coup d'œil autour de lui. Sourit à son frère et à sa sœur en leur montrant rapidement la forêt. Il avait besoin de se balader, de prendre un peu l'air. Il commença donc à avancer tranquillement vers les grands arbres touffus.

    Ra il faisait bon dans cette petite foret dis donc. Marlon pouvait entendre le chant des zozios, il apercevait quelques fées qui passaient par là (et pour sa propre santé mentale décida bien sur de les ignorer). C'était quand même étrange ce qui leur arrivait. Non ? Sortant de la forêt, il put apercevoir une sorte de lac. Cet endroit lui semblait juste magique. L'eau rayonnait, le soleil à côté passait pour une vulgaire lampe électrique. Marlon s'approcha, doucement, sans précipitation et s'assit au bord, les pieds dans l'eau. Il plongea ensuite son regard dans celle-ci pour être sur qu'il n'y avait pas de requin ou de crocodile. Ben ouai, on sait jamais. Rassuré, il releva les yeux et commença à battre des jambes. Ah, il avait envie de plonger. Ouai, ça lui prenait comme ça. Il avait là maintenant tout de suite une envie irrésistible d'eau. Il n'avait pas de maillot, il n'était pas non plus sur à cent pour cent qu'aucune bête ne traine, mais il savait que quoi qu'il fasse, d'ici cinq minutes, il sera dans ce lac.

    Relevant la tête sur les contours du lac, il put apercevoir un peu plus loin une autre silhouette. Voyant une belle chevelure, Marlon comprit qu'il s'agissait d'une fille. Curieux, le garçon se leva tranquillement et marcha vers la silhouette. A quelques mètres, il la reconnue. Il s'agissait d’Alice Spenser. Une fille vraiment super. Il y a peut-être un an, elle et Marlon étaient sortit ensemble. Mais comme souvent, le petit frisé avait mis fin à la relation. Il n'avait été du genre, longues relations heureuses. Enfaite, tout ça lui faisait plutôt peur. Une fille qui s'attache trop, des paroles qu'on regrette ... On finit par se détester et se séparer. Alors autant le faire plus tôt. Non ? Ca évite bien des souffrances et des bêtises. Légèrement pessimiste sur l'amour notre Mister Brighberry ? Ouai un peu. Il faut dire que ses parents ne lui ont jamais vraiment montré le bon exemple. Enfin bref, après leur rupture, Marlon et Alice était restés en bon terme et était même devenus bons amis. Ce qui faisait vraiment plaisir au jeune garçon. C'est vrai qu'après une séparation, il était plus habituer à entendre des choses du genre « Espèce de gros con ! De toute façon si tu me quitte, tu finiras tout seul dans un trou perdu avec ta bande de tarré ! » ou des paroles qui s'en rapproche. Enfin bref, le petit brun continua d'avancer vers son ex copine et maintenant amie et posa une main sur son épaule. Et lui dit en souriant.

      « Hey petite fille, qu'es que tu fais là ? T'as pas peur de te faire enlever par un pirate ? Ou par une fée ? »

    Alors qu'il regardait la jeune femme, une petite idée légèrement sadique lui passa par la tête. Oh non, c'était méchant. Il n'allait quand même pas faire ça ? Si ? Ah ben si, je pense franchement que c'est trop tard. Un sourire indescriptible sur les lèvres et un regard malicieux dans ses yeux, Marlon appliqua une pression sur la blondinette. Ca n'y manqua pas, en quelques secondes, celle-ci se retrouva dans l'eau. Marlon se mit à rire en la voyant trempée. Oh fallait bien rigoler des fois non ? En plus, Marlon n'avait pas l'intention de la laisser seule. Un instant après, il recula d'un pas pour ensuite se précipiter dans l'eau et faire une bombe énorme. Une fois dans l'eau il garda la tête en dessous histoire de bien se mettre à l'aise. Avec ses vêtements, ce n'était pas forcement très agréable, mais il aimait la sensation de l'eau sur son visage et même sur son corps. Enfin bref, il finit quand même par ressortir sa tête de l'eau et regarda Alice en souriant. Il se rapprocha d'elle et la coula un instant. Juste histoire de s'amuser un peu. Vous avez dit chiant ? Oh si peu ! Faisant sortir la belle blonde pour qu'elle puisse quand même respirer, il lui dit en riant.

      « Alors qu'es qu'on dit à Marlon le Magnifique pour ce petit bain ? »


    [Pff c'est nul désolé ^^ Pour l'ordre je vous laisse voir, mais j'pense que ça s'rait plus logique que Alice réponde en première XD]
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MessageSujet: Re: Ouah il est super beau ce lac. Oh une indienne ! [Vetri & Alice]   Ouah il est super beau ce lac. Oh une indienne ! [Vetri & Alice] EmptyMer 7 Jan - 23:12

    Pied gauche, pied droit. Encore une fois, puis encore. Demi tour toute ! Pied droit, pied gauche. Et on recommence. Le frottement de mon jean et les cris des oiseaux étaient les seuls sons qui se faisaient entendre, avec les bruits de mes pas sur le sol sec et craquelé. Quelques heures déjà, qu’on était au bord de ce lac, Stan et moi. D’abord, nous avions tenté de parler, mais avions finalement renoncé. Que ce dire ? On vivait ensemble tout le temps, le même enfer, les mêmes craintes, les mêmes événements ennuyeux mais pourtant inhabituels quelques jours auparavant. La vie, sur cette île, se déroulait au ralentit. Pouvait-on réellement appelé ça la vie ? Ca ‘en avait pas l’air, pas du tout. C’était plutôt comme si quelqu’un avait appuyé sur pause. On voulait que le monde, en dehors, s’arrête. Qu’il ne reprenne que quand les choses seraient redevenues normales. Imaginez un peu. La troisième guerre mondiale aurait éclaté que nous n’en aurions rien su. Mes pieds continuaient de marcher, allers et retours, sans que je n’aie à y penser, mécaniquement. C’était comme de la musique. D’ailleurs, la musique, comme tant d’autres choses, me manquait. Je voulais retrouver les gens normaux, une maison, la terre ferme et dur, les chemins de bétons, l’agitation des rues, les terrains de tennis. Les gens. Ici, on était prisonnier. Prisonniers de l’infini en quelques sortes. Ironique, hein ?

    Mes pensées s’arrêtèrent ici quand mon meilleur ami se leva de la pierre d’où il me regardait m’agiter depuis pas mal de temps. Il me fit signe en direction de la forêt. C’était un signe bien vague, mais je voyais ce qu’il voulait dire par là. Rester ici ne lui convenait plus, il fallait qu’il marche. Moi-même, je ne me sentais pas de venir avec lui. Ici, l’espace était plus découvert. Mais autour, c’était la forêt pure et simple. Ca ne ferait que renforcer mon impression d’enfermement, déjà trop oppressante. Je le suivis lentement des yeux tandis qu’il s’enfonçait à travers les différents arbres dont je ne connaissais pas les noms, faute d’avoir écouté en bio. Quand je fus seule, du moins à la vue de personne, je poussais un cri et, ramassant un galet au hasard, le lançais sur la surface plane et lisse du lac, que j’avais observé en arrivant aussi. Ce qui m’avait semblé reposant il y a peu était à présent énervant. Comme si cet imbécile de lac se fichait de moi, avec sa tranquillité à toute épreuve. Bon sang que j’avais envie de partir. Mais pour aller ou ? Dans la forêt ? Avec les autres, qui étaient aussi paumés que moi ? Non, merci.

    Découragée, je me remise à faire mes cent pas sur la rive du lac ou je me tenais. Enfin façon de parler, puisque l’étendu d’eau avait plutôt une forme circulaire. Je chuchotais plus que je ne chantais l’air d’une symphonie de Mozart, qui m’avait marqué. C’était celle que j’écoutais toujours avant les matchs, et ça calmait mon stress. Bizarrement, dans cet endroit étrange, avec tout le contexte, ça marcha encore. Quelques minutes après avoir commencé à fredonner l’air, mes poings se décrispèrent et je perdis mon envie de crier. Cette musique avait vraiment un don sur moi, allez savoir pourquoi. Quand je fis un énième demi-tour, je constatais un reflet flou dans la surface scintillante du lac, et relevais la tête en me stoppant nette. Pourquoi, a chaque fois que je voyais quelque chose ici, j’étais surprise ? Je m’attendais à quelque chose de particulier peut-être ? Non. Simplement, l’endroit n’allait pas avec le fait de se dire que c’était un de ses amis qui venait derrière vous, le plus simplement, comme si tout ça avait été normal.

    Je me tournais et constatait que Marlon avançait vers moi. Dans l’ensemble, un sentiment plutôt positif m’envahit. Nous étions sortis ensemble il y a un an de cela, ou à peu près. C’était peut-être lui qui avait cessé la relation, ça ne m’empêchait pas de l’adorer. Non, pas dans ce sens là ! Je n’étais plus amoureuse de lui, même si j’avais été sérieusement accroc. Simplement, tout les deux, en fin de compte, nous étions plutôt faits pour être amis. On s’était juste trompé au début. La preuve, on riait tout le temps quand on était ensemble. Ca, c’était du moins ce que je disais toujours quand on m’en parlait. Mais au final, s’il n’avait pas rompu, l’aurais-je fait ? Je ne sais pas. Mais je n’avais pas envie de me demander ça. C’était une sorte de question piège. Avec des si, on mettrait Paris en bouteille, pas vrai ? Donc, en voyant le visage souriant de mon ami face à moi, je lui souris.

    Petite fille … Quoi ? Je n’étais pas si petite que ça ! Allez quoi, 1m 67, c’est très bien. Bon sang ce que je ne m’aimais pas qu’on me dise ça. Il le savait, et me taquinait. En réalité, je râlais pour la forme, mais ça n’avait aucune espèce d’importance, si vous voulez tout savoir. J’eus un petit sourire. Encore ? Décidément, fort le Marlon. Ca faisait deux heures que ça n’allait pas, et là il arrivait et me faisait sourire comme ça, en claquant des doigts, presque. Un magicien comme qui dirait. J’hésitais. Un pirate ? Une fée ? Pourquoi moi j’avais plus dans la tête les 7 nains ? Faut dire que le paysage féerique de l’île (j’avais beau la détester, il fallait lui rendre ça quand même) rappelait grandement les contes de fées. « A vrai dire, j’attendais Crochet pour qu’il me recrute ! » Je faisais allusion à ces fées, qu’on trouvait dans ‘Peter Pan’, mon dessin animé préféré quand j’étais petite. J’allais ajouter quelque chose, mais la suite des évènements se passa très vite.

    Avant d’avoir pus en placer à nouveau une, je sentis une pression sur mes épaules qui me fit perdre l’équilibre. Et paf, je fis un superbe plat dans le lac, qui se trouvait malencontreusement juste à ma droite. Et, quand je sentis le contact de l’eau tiède sur ma peau brulante, la pensée qui me traversa l’esprit fut d’abord de me demander qui avait eu l’idée de placer un lac ici. Ensuite, avec plus d’humour, je me dis que c’était une vraiment mauvaise idée de rester amie avec son ex. Je remontais à la surface et soufflait un grand coup, avec l’espoir d’attirer Marlon dans l’eau. Mais, bon joueur, il s’était déjà jeté dans le lac. Enfin bon joueur, c’est vite dit. Je rabattais mes cheveux sur ma tête quand il vint vers moi et, d’une nouvelle pression sur les épaules, il renvoya ma petite frimousse droite sous l’eau. Je savais que me débattre aurait été vin, alors je ne le fis pas. Bien vite, il me lâcha pour que les gorgées d’air puisse à nouveau aller jusqu’au mes poumons. Avec un sourire amusé, il m’adressa la parole. A nouveau, je remis mes cheveux derrière mes yeux pour y voir clair, et fit un grand geste pour l’éclabousser. « Marlon, tu sais que quand je ne t’aime pas, je te déteste ? Et en l’occurrence là, je ne t’aime pas ! » Ca aurait pu être vexant, hors contexte, et si je n’avais pas explosé d rire une fois mes paroles prononcées. Derrière moi, j’entendis alors un son. Un rire ? Peut-être. Je me retournais, mais ne vit rien. Alors, pensant avoir imaginé le son, je me tournais vers Marlon, pour éviter qu’il n’en profite pour me couler. Cette fois, je ne me ferai pas avoir.
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