•• passp0rt t0 neverland.
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 Alice, ce que tu ne seras jamais.

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MessageSujet: Alice, ce que tu ne seras jamais.   Alice, ce que tu ne seras jamais. EmptyMar 30 Déc - 18:13

    Fiche de Présentation


    Alice, ce que tu ne seras jamais. Img-142330g1q0z Alice, ce que tu ne seras jamais. Img-14234508g6a
    Généralités

    ~ Prénom; Alice
    ~ Nom; Spenser
    ~ Age; 21 ans
    ~ Pays d'Origine; Angleterre

    { Il n'y a pas de vrais chemins. Il y a juste une immense plaine, et on va ou l'on veut. }
    Décrivons tout ça !

    ~ Histoire;
    Vous avez déjà lu votre propre Biographie ? Moi, oui. Racontée par un inconnu, ça m’a fait étrange. Regardez par vous-même …

    Chapitre 1 : Le début de tout.

    Emma tourna la tête vers Ben. Elle lui fit un magnifique sourire, et hocha la tête. Il lui rendit son sourire et enleva la bague de son écrin pour lui passer à l’annuaire gauche. La jeune femme le serra dans ses bras et ils s’embrassèrent longuement, avant de trinquer au champagne. La vie commençait pour ce jeune cadre dynamique et cette créatrice très prometteuse. La nuit promettait d’être courte.

    En effet, la nuit le fut. Et d’autres aussi après. Jusqu'à ce qu’Emma, un beau dimanche après-midi, ne vienne se blottir dans le canapé, regardant son fiancé avec une gravité qui ne lui était pas familière. Elle murmura quelque chose à voix basse. Ben se tourna vers elle et ouvrit de grands yeux ébahit. Finalement tandis qu’Emma se mordait la lèvre, il éclata de rire et la prise dans ses bras. Il allait être papa, rien que ça ! Il mit un certain temps à se faire à l’idée, mais la nouvelle fut accueillie avec joie. Ils décidèrent même de se marier le plus rapidement possible, afin de bien faire les choses, dans le bon sens.

    Les deux amoureux, un mois plus tard, se contemplèrent durant cinq seconde avant de s’embrasser, chacun avec, au doigt, la promesse de l’amour éternelle de l’autre. La nuit n’en finissait plus de danses, remercîments, félicitations et dégustations. Quand, finalement, les deux embarquèrent à bord du navire qui devait leur faire passer deux semaines de croisière au Caraïbes, ce fut à regret que les gens les laissèrent partir, appréciant trop la fête pour vouloir qu’elle ne cesse. D’ailleurs, Emma et Ben étaient plutôt du même avis. Mais la nuit qui les attendait était totu aussi attirante que la perspective d’une fête longue et belle.

    Nous faisons un nouveau bond dans le futur pour nous retrouver à présent à la maternité. Emme criait à en cracher ses poumons tandis que Ben lui tenait fermement la main, ne trouvant pas comment aider sa femme, qui semblait souffrir énormément, mieux que ça. Il faisait tout ce qui était dans ses moyens, mais ça ne semblait pas suffisant. Peut-être est-ce à partir de ce moment là que Ben commença à ne pas apprécier sa fille. L’accouchement dura cinq bonnes et longues heures, difficiles pour tous. Mais, au bout du compte, on fit sortir une magnifique petite fille de trois kilos cinq, en parfaite santé, dont la tête était recouverte d’un doux duvet blond. Ben refusa de la prendre dans ses bras, et on l’a donna donc à sa mère, qui la contempla comme la huitième merveille du monde. Mon trésor, murmura-t-elle, tandis que son mari s’éloignait, sans même lui adresser un regard.


    Chapitre 2 : Le début des malheurs

    Nous faisons ensuite un bon dans le futur. Ici, Alice Stella Spenser avait 3 ans. Elle n’était pas spécialement en avance, mais ne se trainait pas trop. Toutes ses dents de laits étaient là, prêtes à tomber. Elle était propre, parlait clairement dans un anglais quelque peu hésitant, marchait largement, comme il est normal à son âge, courait, sautait, coloriait … Bref, sa rentrée en maternelle se fit sans problème, sous l’œil attentif de sa mère. Mais son père, lui, n’était pas là. Jamais il ne faisait de câlin à sa fille, jamais il ne la baignait, nourrissait, habillait … Ca aurait aussi bien pu être la fille des voisins, que ses rapports avec elle n’auraient pas été différents. Emma avait bien essayé d’en parler avec lui, mais Ben n’avait rien voulu dire, prétextant qu’elle racontait n’importe quoi. Sa femme ne s’était donc pas éternisée sur le sujet.

    Les mois passèrent ainsi, sans changement. Puis les années. Alice, en grande section, commença le tennis. La raquette faisait presque sa taille, elle jouait avec des balles en mousses sur un mini terrain, certes. Mais elle adorait cette heure là dans la semaine, toujours prête à partir. Quand elle y était, elle ne se déconcentrait jamais, et les entraineurs étaient pressés qu’elle passe au niveau supérieur, car ils étaient sur de pouvoir en faire quelque chose, comme ils disaient. Un après midi, en revenant de l’entrainement, sa mère dit à Alice qu’elle était fière d’elle. Celle-ci sourit. Ce n’était pas sa priorité. Les deux avaient un rapport très difficile. Même si Emma s’occupait bien d’elle, il n’y avait pas de véritable amour entre elles deux, comme avec Ben d’ailleurs. Déjà, à cet âge, Alice se demandait si on n’avait pas échangé sa maman avec Emma, à la naissance.

    Un soir, quand elle rentra à la maison, Alice sentit que quelque chose n’allait pas du tout. Le silence, était grand, trop grand. Déjà, a la sortie de l’école, elle avait été surprise de ne pas voir sa mère. Ne voulant pas s’inquiéter trop pour rien, elle posa son cartable et se rendit au salon, ou son père regardait la télé. Deux choses clochaient dans cette image. D’habitude, à cette heure-ci, Ben travaillait. Et la télé était éteinte. Alice alla s’asseoir à côté de lui en silence, inquiète à présent, mais réellement. Son père se leva et regarda par la fenêtre, avant de murmurer trois simples mots. Alice connaissait chacun de ces trois mots, pourtant elle mit un certain temps à comprendre. C’était simple pourtant. Maman, ça elle connaissait depuis toujours. Est, le verbe être à la troisième personne. Partie, donc elle avait donc pris ses clics & ses clacs, avant de claquer la porte.

    Plus tard, dans sa chambre, Alice digérait encore l’information. Jamais elle ne pardonnerait à Emma. Celle-ci disait souvent se sentir à l’étroit dans cette maison. Alice, qui était en CM1, ne comprenait pas ce qu’elle voulait dire par là. Elle se doutait cependant que ca n’avait pas de rapport avec la surface de la maison. Après cette longue soirée de réflexion, elle décida que sa mère ne comptait plus, à partir du moment où elle avait déguerpie. Seulement son père ne voyait pas les choses comme ça. Il passait ses journées à se morfondre, une lueur de tristesse et de folie dans les yeux. Comme s’il avait perdu quelqu’un, que quelqu’un était mort. Pour échapper à ce chagrin, et à cette haine quand il la regardait, sa fille se plongea entièrement dans le tennis. Elle y passait ses soirées, ne vivant bientôt plus que pour ça. Sur le terrain, personne ne pouvait la laisser tomber.


    Chapitre 3 : Histoire d’un prodige

    Alice passait donc tout son temps à jouer au tennis. Et elle le faisait magnifiquement bien. Au collège déjà, on savait qu’elle deviendrait quelqu’un, qu’elle se ferait un nom dans le métier. Ces entraineurs la protégeaient, elle avait pour elle seule un coach, avec qui elle passait deux heures chaque soir, et cinq par jour le week-end. Son père ne la soutenait pas, mais la laissait vivre sa passion. Quand Alice entrait sur un terrain de tennis, la balle, la raquette et son adversaire était tout ce qui importait. Son père, qui ne l’était pas vraiment, sa mère, qui ne l’était pas non plus, ses soucis … tout ça disparaissait. Ca lui plaisait, elle était dans son élément.

    Quand elle arriva au lycée, Alice se qualifia pour des tournois importants, du niveau national. Elle affrontait les jeunes gens de son âge, les meilleures de l’Angleterre, et voulait même aller s’attaquer à l’Europe, puisqu’elle était arrivée deuxième. Elle se fit sponsorisée par de nombreuses marques, changea d’entraineur pour quelqu’un de plus doué encore, un ancien champion de Wimbledon. Sa vie tournait autour de ça, et on parlait déjà d’elle, dans tous le Royaume Unis. Une future championne, la nouvelle coqueluche du pays.

    Mais les contes de fées, ça n’existe pas. Ben décida alors que sa fille était trop concentrée sur ça. Qu’elle négligeait ses études. Alice avait beau lui dire que son avenir, c’était ça, il ne voyait pas les choses de cet œil la. Et comme elle était mineure et prise en charge par lui, elle dut se rendre à l’évidence. C’était lui qui décidait. Elle dût donc abandonner sa section sport étude, et se rendit à « era uk college », alors qu’elle était en première. C’était un mélange de lycée et université, dans lequel elle étudiait les langues. Même si c’était quelque choser d’intéressant, elle ne supportait plus l’absence du tennis dans sa vie. Enfin elle n’en faisait que le week-end. Finalement, Alice plongea dans une dépression noire, qui fit réagir son père.

    Ben envoya sa fille chez un psy, près de son lycée. Il ne voulait pas qu’elle redevienne comme avant. Quand les coupes prenaient toute la place dans sa chambre, quand elle n’avait pas d’autres amis que ceux du tennis, quand elle ne sortait que pour les entrainements et ne souriait que quand elle venait de finir un match, qu’il soit gagné ou perdu. Même si sa fille n’était pas la chose la plus importante aux yeux de Ben, il se refusait à la voir comme ça. Il trouvait que l’idée de la thérapie était bonne. Seulement, quelques mois après le début, Alice arrêta de s’y rendre, sous prétexte d’aller mieux. C’était vrai que ses notes étaient bonnes, qu’elle mangeait de nouveau. Aussi son père ne la força pas à y retourner, pensant que ça allait mieux sans doute.


    Chapitre 4 : L’université

    Deux ans plus tard, ce fut le début de l’université. Enfin façon de parler, puisqu’Alice ne changea pas de campus. En apparence, les choses allaient. Mais en réalité, elle n’allait pas du tout. Rien n’avait d’importance à ses yeux. Plus rien ne comptait pour Alice. C’était comme si elle arrivait à la fin de sa vie, que les choses n’en valait plus la peine alors qu’elle n’avait même pas 19 ans. Une de ses proches amies – et seules d’ailleurs, car Alice ne faisait plus d’efforts pour en avoir, appela son père pour le mettre au courant, car elle était réellement inquiète.

    C’est ainsi qu’Alice, quelques jours plus tard, se trouva à nouveau dans le cabinet de psychanalyse qu’elle avait quitté deux ans plus tôt. Mais cette fois, un beau jeune homme fraichement diplômé lui faisait face. Au fil des séances, la jeune femme repris gout à la vie, arrêtant petit à petit de se focaliser en permanence sur le tennis, essayant d’autres choses. Et ce, grâce à Damien, le jeune homme qui la suivait. Pas forcément grâce à ses méthodes, pourtant efficaces avec les autres patients. Mais parce qu’Alice était irrémédiablement et follement amoureuse de lui. Ca devenait plus facile, de se laisser distraire. Au bout d’un an, quand elle entamait sa deuxième année, l’étudiante réussis enfin à lui dire qu’elle ressentait quelque chose pour quelqu’un. Et là, quand elle vit la mine qui se voulait réjouie – mais paraissait plutôt déçue – du jeune psy, elle prit son courage à deux mains et l’embrassa tendrement.

    Leur relation dura pendant presque un an, qui s’écoula très rapidement pour Alice. Elle semblait être devenue une nouvelle personne. Elle sortait, voyait des amis – qu’elle possédait à présent, se faisait belle, profitait de sa jeunesse. Bien sur, le tennis était encore présent dans sa vie, mais avait un rôle bien secondaire. Elle ne jouait que le week-end, deux à trois heures, pour le plaisir. C’était toujours ce moment là qu’elle appréciait le plus dans sa semaine, et elle savait parfaitement que cette sensation là ne changerait surement pas. Au fur et à mesure, Alice se mit même à voir d’autres garçons, sans en parler à son psy bien sur. Parfois, la vérité était de trop dans une relation. Bien qu’elle n’avait plus besoin de thérapie, la jeune femme la poursuivait, pour pouvoir passer deux heures par semaines avec Damien. La vie reprenait, ou commençait peut-être.


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MessageSujet: Re: Alice, ce que tu ne seras jamais.   Alice, ce que tu ne seras jamais. EmptyMar 30 Déc - 22:44

    Chapitre 5 : Destination Neverland

    Alice resta un moment, les yeux posées sur la lettre. Elle éclata de rire et se jeta dans les bras d’une de ses amies, qui se trouvait ici. Elle avait été sélectionnée ! Sur les milliers de gens qui voulaient le faire, elle avait été une des élues. Elle allait participer à la rencontre avec des étudiants étrangers, visiter d’autre endroits, voyager, parler d’autres langues … Un rêve quoi, qui devient réalité ! Comme le jour ou elle avait remporté ce tournoi. C’était son premier. Elle était une gamine de dix ans, et pourtant elle avait déjà la moitié du club derrière elle. Et elle avait gagné 6-0, 6-0, 6-0. Et bien c’était le même sentiment. Ce n’était certes pas aussi intense que le tournoi national. Mais c’était le vrai bonheur.

    Ensuite, il fallut l’apprendre aux autres. Certains de ses amis partaient avec elle, et elle en était heureuse. D’autres furent simplement ravis pour elle, mais Alice eut aussi à supporter quelques regards jaloux. Mais peu lui importait à ce moment là. Après tout, si elle avait été choisie, c’était pour une raison quand même. Elle le méritait. Quand elle l’annonça à Damien, celui dont l’avis serait vraiment important, il fut partagé. Entre la joie de la voir devenir quelqu’un, qu’elle soit heureuse, qu’elle réalise un de ses rêves. Et la tristesse, de la voir partir seule, de la quitter, de laisser son amour partir, de passer à autre chose. Pourtant, même s’il avait les larmes aux yeux, il la félicita et l’embrassa. Ce fut le plus beau cadeau qu’il aurait pus faire à Alice. Son père, au téléphone, la félicita et lui dit que c’était bien qu’elle soit passée à autre chose. Quand la jeune femme raccrocha, elle était certaine qu’il s’en fichait. Pourtant, de l’autre côté du pays, Ben versa quelques larmes avec un sourire, tant il était fier.

    Les préparatifs se firent avec entrains, les gens se baladant dans les chambres de ceux qui partaient. Alice inspira un grand coup et, habillée d’un jean et d’un pull à capuche, sortie de sa chambre en trainant derrière elle deux grosses valises et un sac à dos. Les effusions se firent à l’entrée dans le car. Certains pleurèrent, mais la plupart riaient. On aurait dit un début de colonie de vacances. Plus des trois quarts du campus était rassemblé ici. A cette pensée, Alice se dit que, définitivement, elle avait de la chance. Elle embarqua finalement dans le bus, à la suite de ses camarades, et s’assit au hasard, sur un des sièges abimés. Le trajet fut long, très long comme on pouvait s’y attendre. Alice le passa surtout à écouter de la musique, envoyer des messages et parler avec ses camardes, de tout et rien. C’était décidément comme un début de camp de vacances. Puis, d’un seul coup, les paupières de la jeune femme se firent lourdes. Se calant contre la fenêtre, elle finit par s’endormir en quelques minutes à peine, alors que la moitié du car dormait déjà.

    Quand elle se réveilla, Alice se demanda si enfin on était arrivé. Apparemment oui, puisque le bus ne bougeait plus. S’étirant, elle se redressa sur son siège. Elle était une des premières à se réveiller. Tous, ils dormaient u sortait de leur sommeil. Alice se leva et avança, mais ne vit aucun professeur. Se demandant où ils pouvaient bien être, elle descendit du bus en compagnie d’une poignée d’élèves. Le soleil venait de se lever, dévoilant la mer. C’était magnifique. Trop beau d’ailleurs. La jeune femme fronça les sourcilles et se retourna vers le reste des élèves descendus, qui eux aussi étaient surpris. Ou étaient-ils ? Que se passait-il ? Voyons Alice, la curiosité est un bien vilain défaut...


    ~ Caractère;
    « Alice, grandis un peu ! »

    Grandir, pourquoi faire ? Je suis très bien comme ça, merci bien. D’ailleurs, si ça ne tenait qu’a moi, on arrêterait de grandir à 8 ans. Oui, 8 ans me parait un bon âge. C’est à ce moment là qu’on prend conscience de la mocheté de la vie. Alors oui, je sais. Je ne regarde jamais la vérité en face. C’est plus facile de faire comme si, de rester là à regarder. De dire qu’on ne sait pas quand on sait, d’ignorer la vérité visible pourtant comme le nez au milieu de la figure. J’en sais quelque chose. J’aime qu’on me dise que je comprendrais quand je serais plus grande. Ca signifie qu’il me reste encore un peu de temps, avant de connaitre l’horrible vérité qui se cache derrière cette phrase.

    « Lâche l’affaire bon sang ! »

    Hors de question. Cette phrase m’énerve aussi. Comme si j’allais céder aux autres, comme ça. Bon, c’est vrai, je suis très têtue, il faut l’admettre. Mais je suis aussi très raisonnable. Qu’est ce que ça vient faire là ? Aucune idée. Mais je voulais me défendre, alors j’ai dit quelque chose. Ah si, on peut dire que, comme je suis raisonnable, j’admets quand j’ai tord. Ce qui est vrai. Si je me trompe, je suis prête à faire demi-tour, à dire que je me suis trompée. Mais j’aime mieux avoir raison en général. Vous voulez un secret ? Je suis mauvaise perdante. Pas mauvaise joueuse, non. Mais je déteste perdre. C’est quelque chose que je ne supporte pas. Mon âme d’enfant surement.

    « Eh oh, tu m’écoutes un peu ? »

    Non. Pas plus que depuis 21 ans. Je passe ma vie à rêver. En même temps, étant donné que ma courte existence ressemble plus à un ratage complet, autant s’en imaginer une autre, non ? Alors c’est ce que je fais. Je vois toute sorte de choses, j’écris. La vie est plus belle quand je la rêve que quand je la vis. Pourtant, j’aimerais bien que tout soit rose. Sauf qu’il y en a pour qui c’est noir. C’est vrai que, ces dernières années, ça va mieux. J’arrive à vivre, pour de vrai. A profiter. C’est vrai que l’occasion s’y prête plus, vu les circonstances. Mais mon psy est fier de moi. Tu m’étonnes …

    ~ Vision d'un monde sans adulte; La vérité sort de la bouche des enfants, qu’ils disent. Ils n’imaginent même pas. Un monde sans adulte ? Ce serait rose, pour de vrais. Ce serait enfin Le renie de la vérité, sans jugement, sans discrimination. Mais je n’y crois pas. On passerait vite à la loi du plus fort, pas vrai ? Et après, il faudrait bien redevenir civilisés. Alors, les plus grands prendraient le pouvoir. Et au fur et à mesure des années, on reviendrait au même point que la situation actuelle. Sauf que les adultes auraient entre 10 et 12 ans. Il n’y a rien de plus beau qu’un enfant, et dans ce cas là on en ferait un adulte trop tôt, trop vite. Il n’aurait même pas eu le temps de profiter de la sagesse que représente l’ignorance, quand on ignore qu’on la possède.


    Et toi dans tout ça ?

    ~ Prénom/Pseudo; Sandra =D
    ~ Comment t'as découvert le forum; Par Marion, MSN
    ~ Groupe; Les étudiants
    ~ Personnalité sur ton avatar; Kirsten Dunst
    ~ Quelque chose à ajouter; Nop'


Dernière édition par Alice Spenser le Mar 30 Déc - 23:14, édité 1 fois
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Amaryllis Brightberry
    — gone so far,
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Amaryllis Brightberry


— INSCRIT LE : 20/12/2008
— MESSAGES : 164
— PLAYLIST : « k0nstatine. » — Something Corporate

— L0CALISATI0N : uk.

— QU0TE :
_-_« quand mes yeux se ferment, vu que j’suis pas la fée clochette : il m’arrive de faire des cauchemars. Jacadi m’a dit va chercher ta trottinette et suis moi jusqu’au lavoir… là-bas, tu verras, les fleurs se marrent… »


« not over yet. »
— RELATIONSHIP:

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MessageSujet: Re: Alice, ce que tu ne seras jamais.   Alice, ce que tu ne seras jamais. EmptyMar 30 Déc - 22:48

Amaryllis Brightberry a écrit:

    welcome m’dame. et thks de ton inscription
    (ouais, je suis bilingue. out.)

    Bonne chance pour ta fiche (: si tu as le moindre soucis, n’hésites pas à nous contacter =D
Indiana C. Wood a écrit:

    Marion à tout dis Very Happy
    Welcome !
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MessageSujet: Re: Alice, ce que tu ne seras jamais.   Alice, ce que tu ne seras jamais. EmptyMar 30 Déc - 23:15

    Donc, je la refait : merci xD'
    Et ... j'ai terminé !
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Amaryllis Brightberry
    — gone so far,
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Amaryllis Brightberry


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_-_« quand mes yeux se ferment, vu que j’suis pas la fée clochette : il m’arrive de faire des cauchemars. Jacadi m’a dit va chercher ta trottinette et suis moi jusqu’au lavoir… là-bas, tu verras, les fleurs se marrent… »


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MessageSujet: Re: Alice, ce que tu ne seras jamais.   Alice, ce que tu ne seras jamais. EmptyMar 30 Déc - 23:24


    Te voilà validée friends
    (je te mets dans le bon groupe dans 3o p’tites secs)
    Citation :
    « Étant donné que tu es un étudiant, nous t'invitons à réveiller ton personnage dans cette catégorie @ (en sachant que tu ne peux intervenir que dans un seul sujet de cette partie). Cela est facultatif, tu peux donc zaper ce passage et débuter directement le vrai RP si tu le désires »
    amuses toi bien sur le forum (:
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MessageSujet: Re: Alice, ce que tu ne seras jamais.   Alice, ce que tu ne seras jamais. EmptyMar 30 Déc - 23:32

    Merci à toi =D
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MessageSujet: Re: Alice, ce que tu ne seras jamais.   Alice, ce que tu ne seras jamais. Empty

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